« Les régions au centre :

Notre projet des territoires

gagnants »

 

 1) “Remettre les régions en première ligne sur te front de l’emploi”: 

–  Généralisation des contrats de transition professionnelle à tous les bassins d’emploi en difficulté

 –   Création de maisons régionales des PME

 –  Développement des lycées de métiers au service de la formation tout au long de la vie

2) “Promouvoir des régions à haute qualité environnementale”: 

– Création de pôles régionaux de compétitivité verte fondés sur les métiers de l’environnement

–  Mise en place, chaque année, de 100.000 parcours d’accès aux emplois de la croissance durable pour les jeunes et les seniors

 –  Accès à tous les transports en commun pour 1,5 euro par jour

–  Offre renouvelée, diversifiée et de qualité pour les transports en commun afin d’offrir une alternative crédible à la voiture particulière

 –  Mise en place de plans régionaux de bornes électriques pour les voitures de demain

 – Création d’une aide régionale aux foyers les plus modestes afin d’encourager (es économies d’énergie

 3) “Engager les régions au service d’un développement solidaire des territoires”: 

 – Mise en place de filières agricoles régionales performantes fondées sur les productions d’avenir

 – Création d’un réseau de maisons médicales

 – Création de bourses régionales pour les étudiants en médecine, en contrepartie de l’engagement d’exercer sur le territoire pendant au moins 5 ans après l’obtention du diplôme

 –  Doublement de la formation de personnels soignants (infirmiers, aides soignants, aide à la personne, kinésithérapeutes) pour lutter contre la désertification médicale

 –  Lancement d’un plan de logements étudiants

 –  Création d’une carte culture transport

 4) “Affirmer l’identité européenne des régions”: 

 –   Fléchage des fonds déconcentrés sur les projets prioritaires des régions dans les domaines de l’Innovation, de la recherche et du développement durable au service de la compétitivité des territoires

 –  Création d’un véritable service des affaires européennes dans chaque administration régionale

 –  Création d’un Erasmus des apprentis

 5) “Faire des réglons les acteurs d’une démocratie locale exemplaire”: 

 – Transparence totale sur l’octroi des subventions

 – Gel des dépenses de fonctionnement

Samedi 5 Décembre Loîck Le Brun chef de file régional pour la Bretagne a rencontré Bernadette Malgorn avec l’ensemble des Délégués et Présidents des départements bretons.

Cette première rencontre depuis la nomination de la tête de liste régionale pour la Bretagne s’est déroulée dans un climat serein et constructif où chaque partie a pu développer sa stratégie pour les prochaines élections.

 Bernadette Malgorn a souligné son appartenance claire à la majorité présidentielle et son soutien à l’action de Nicolas Sarkozy. Son objectif faire quelque chose de différent en restant fidèle à la Bretagne. Les différents points du programme seront présentés pendant la campagne par l’équipe qui entourera B Malgorn.

Cette première réunion s’est poursuivie par un déjeuner convivial.

 Pour l’Ille et Vilaine participaient Loïck le Brun et Alix de la Bretesche, déléguée générale du Nouveau Centre.

Loick Le Brun chef de file régional, a réuni samedi dernier à Pontivy les chefs de files départementaux, la tête de liste départementale des Côtes d’Armor ainsi que les présidents et délégués départementaux du Nouveau Centre.    

« Nous nous réjouissons de la désignation de Bernadette Malgorn comme tête de liste de la majorité présidentielle en Bretagne et la rencontrerons samedi 5 décembre prochain.

Outre les priorités pour la Bretagne concernant l’environnement, l’emploi et la formation, trois sujets sont pour nous incontournables : la réunification de la Bretagne historique ; l’équilibre entre les territoires -entre l’est et l’ouest de la Région d’une part et entre les métropoles et les villes moyennes d’autre part- ; la politique culturelle déclinant soutien et  formation.

Nous travaillerons également sur un nouveau thème « la santé », lié à l’aménagement du territoire et à la nouvelle loi sur l’organisation du système de santé en Région ». 

Le Nouveau Centre entend participer activement à cette campagne et faire entendre sa spécificité.

Alix de la Bretesche et Loïck Le Brun, conseiller régional de Bretagne pour le Nouveau Centre, ont adressé à Madame Danielle BOUSQUET, députée des Côtes d’Armor, un courrier au sujet du projet de loi portant sur la réforme territoriale en lui demandant de déposer un amendement. En voici un extrait :

« L’ouverture de ce dossier majeur pour moderniser nos institutions afin de leur donner plus de lisibilité et plus d’efficacité a suscité un formidable espoir dans notre région en rendant possible la réunification de la Bretagne. Mais si le texte permet la fusion de régions ou de départements, il exclut a priori le rapprochement entre une région et un département rendant de facto impossible la réunification de la Bretagne. Nous vous demandons donc de déposer un amendement permettant de manière explicite (sur la base du volontariat comme cela est prévu pour la création des futures métropoles) de rapprocher une région avec un ou plusieurs départements ».

par François Sauvadet


Après cinquante ans de bouleversements démographiques, sociologiques, économiques, les territoires ruraux méritent une attention renouvelée, doublée d’une politique volontariste efficace de soutien et de restructuration. À l’heure où une gouvernance mondiale est enfin en train de se dessiner, il serait en effet criminel d’oublier la puissance du local, la proximité étant, bien plus qu’on ne le croit, l’un des grands défis qu’il nous appartient de relever collectivement.

Les réponses apportées sont aujourd’hui clairement insuffisantes. Certes, l’image du monde rural s’est largement améliorée ces dernières années : l’apparition des néoruraux comme le développement des produits bio et du tourisme vert en fournissent une excellente illustration. Cependant, quand on s’intéresse véritablement à ces zones fondamentales, qui ne constituent pas moins de 80 % de notre espace national, on perçoit un profond sentiment d’injustice et d’abandon chez « ceux qui sont restés au pays ». À Paris, on ne mesure pas combien est implantée l’idée que les réformes des cartes militaire, judiciaire, scolaire, hospitalière et des services publics en général se font à leurs dépens et au profit des « chouchous de la République » que seraient les centres urbains moyens et grands.

Et ils ont, hélas, parfois raison. Ici, l’impossibilité d’avoir accès au haut débit ou à la téléphonie mobile, et, demain, à la télévision numérique ; là, des difficultés considérables pour trouver un médecin généraliste, une école pour son enfant, un hôpital proche de chez soi ou un simple bureau de poste.

Nous ne pouvons accepter plus longtemps la montée en puissance d’un véritable sentiment d’abandon, auquel s’ajoute une réelle fracture territoriale. Notre pays ne peut opposer, d’un côté, les villes avec leurs difficultés sociales, qui focalisent l’attention et monopolisent les mesures et les aides financières, et, de l’autre, les campagnes qui s’endorment dans l’indifférence et la frustration ! Un rééquilibrage est aujourd’hui plus que nécessaire !

Les Français doivent redevenir fiers de leur campagne et comprendre que les ruraux sont tout simplement irremplaçables. Plus que cela, cet espace est une véritable opportunité pour notre pays, de par ses apports – ressources en eau, énergie, paysages, attrait touristique – ainsi que de par les complémentarités ville-campagne. Il doit être, encore aujourd’hui, notre poumon vert et non le vestige déclinant d’une puissance rurale révolue. Riche de ses valeurs et de son savoir-faire, il apporte ce supplément d’âme qui nous manque tant aujourd’hui dans nos grandes agglomérations.

Sur le plan économique, la ruralité ouvre des horizons très porteurs pour la relance du pays. L’ampleur de la crise actuelle et son caractère inédit nous obligent à faire preuve de réactivité et d’inventivité, à réveiller toutes les opportunités de croissance. Or, elles sont nombreuses dans ces territoires, qui abritent, déjà, l’immense majorité de nos PME, qui sont la force vive de notre nation. C’est là où sont créés des emplois fortement ancrés dans les territoires et peu délocalisables. La France ne peut, ainsi, pas se permettre de manquer le virage technologique qui permettra à notre agriculture – encore l’une des premières au monde – de maintenir son rang et de contribuer à améliorer notre balance commerciale. Les enjeux sont d’ailleurs considérables : la lutte contre la faim dans le monde, la conquête de nouveaux marchés, l’indépendance et la qualité alimentaire, les emplois verts, la biodiversité… La crise est finalement une occasion unique d’accélérer la politique d’infrastructure et d’équipement (notamment numérique), de moderniser les services publics, et de révolutionner la formation et les services à la personne. Quittons le tropisme urbain et saisissons rapidement cette chance.

Une politique rurale audacieuse doit organiser le développement cohérent des bourgs centres, dernier rempart de la désertification sur beaucoup de territoires. Il faut pour cela privilégier une logique de projets parfaitement structurés et orchestrés. Il faut cesser de saupoudrer les initiatives et les aides sans cohérence d’ensemble. Nos campagnes ont du talent, à nous de les valoriser !

François Sauvadet, député et président du conseil général de la Côte-d’Or, président du groupe Nouveau Centre à l’Assemblée nationale

Les Universités d’été des Jeunes Centristes – Nouveau Centre, qui ont rassemblé près de 1 000 personnes, se sont tenues les 28, 29 et 30 août 2009 à Agen à l’invitation de Jean Dionis, député-maire Nouveau Centre de la ville. Dans son discours de clôture, Hervé Morin, Président du Nouveau Centre, a déclaré : « Nous pouvons désormais revendiquer que le Nouveau Centre c’est l’UDF d’aujourd’hui sans que quiconque ne puisse nous le contester. » Damien Abad, Président des Jeunes Centristes, a ajouté : « Le Nouveau Centre d’hier, c’était l’UDF de Valéry Giscard d’Estaing, Raymond Barre, Simone Veil, et Jean Lecanuet qui se voulait au centre de la vie politique française et qui est devenu orphelin après la trahison d’un homme parti compter fleurette aux bobos de Ségolène Royal. Nous, nous avons continué de croire en nos idées, nous avons rassemblé nos forces, nous avons tenu bon la maison centriste abandonnée. Nous avons eu raison, nous avons réussi – et les élections européennes nous l’ont démontré. »

Lire le discours d’Hervé Morin / le discours de Damien Abad

Plus de photos / L’événement vu par la fédération du Gard

Lors de l’audition du nouveau Commissaire européen au Budget ce mardi – le lituanien M. Semeta -, Damien Abad, député européen du Nouveau Centre (Parti Populaire Européen) et membre de la Commission des Budgets, s’est quelque peu étonné de la position du nouveau Commissaire sur la question du financement du plan de relance européen.

Dans le projet de budget présenté en Commission des Budgets, il manque 2,4 milliards d’euros pour financer ce plan de relance. Afin de combler ce manque, le Commissaire désigné au budget a laissé entendre qu’il proposerait comme solution d’utiliser les crédits consacrés aux aides agricoles.

Pour Damien Abad, « même s’il est habituel d’utiliser les crédits consacrés aux aides agricoles pour financer des dépenses imprévues, il est inacceptable de financer le plan de relance de cette façon.

On ne peut d’un côté, demander aux agriculteurs français de rembourser les aides versées par la Commission et, de l’autre, faire des coupes sèches sur les crédits consacrés aux subventions agricoles. Ce principe de la « double peine » est intolérable dans cette période de crise » souligne le benjamin des eurodéputés français.

« Pour ma part, je voterai contre toute proposition de financement du plan de relance qui se fera sur le dos de nos agriculteurs. A la veille du référendum sur le traité de Lisbonne en Irlande, je crois que ça serait un très mauvais signal envoyé aux agriculteurs irlandais.

Et il y a d’autres sources de financement possibles, notamment du côté des dépenses de fonctionnement des institutions communautaires. » poursuit Damien Abad.

L’eurodéputé français mettra tout en œuvre pour que les agriculteurs ne soient pas à nouveau les victimes des « technocrates de Bruxelles ». « Vous ne pouvez d’un côté encourager, dans le cadre du plan de relance européen, le développement d’Internet en zone rurale et de l’autre, sanctionner nos agriculteurs. Cela n’a ni queue ni tête«  conclut Damien Abad.

Damien ABAD
Député européen

par Patrice Hernu

Sur la taxe carbone et l’opposition entre Ségolène Royal et Cécile Duflot, je conseille la prudence dans le jugement.

Ségo était la plus écolo des socialistes, peut-être grâce à Bruno Rebelle qui l’a certes quittée. Aussi faut-il regarder les choses à deux fois. N’est pas forcément politicien celui qu’on croit.

Je défends la taxe carbone depuis longtemps ; c’est le point focal d’une mutation décisive de la fiscalité.

Secrétaire général du mouvement, je l’avais introduite dans le programme de Génération Ecologie. Il n’a pas été possible de l’introduire dans la plateforme commune avec les Verts en 93 ! Quant à Michel Rocard, 1er ministre, il l’avait refusée à Brice Lalonde sous le prétexte qu’elle handicaperait l’industrie française. Ensuite, ce fut le refus quasi général de la taxe Delors fondée pour moitié sur la taxe carbone au niveau européen.

C’est pourquoi l’Europe a adopté le système des quotas qui, en l’état n’est pas applicable aux émissions diffuses.

En conséquence de quoi la taxe carbone proposée actuellement n’est pas une vraie taxe carbone. C’est une contribution climat-Energie, ce qui désigne bien clairement ses véritables objectifs. Même si la commission Rocard, et particulièrement son bras droit dans cette affaire, Yves Martin, dont le réseau France Bleue a continument publié les contributions depuis près de 4 ans, s’accrochent au concept de taxe carbone et aux mérites qui lui seraient attachés si… elle en était véritablement une. En s’accrochant à l’espoir qu’elle puisse en constituer une première marche comme n’a cessé de le dire Michel Rocard…

Mais elle ne peut pas en devenir une. Malheureusement. Parce que l’Europe, l’Allemagne et sans doute la Chine et les USA s’y opposent et que dès lors elle ne s’appliquera pas aux frontières : elle ne sera pas compensable comme une TVA comme cela aurait été le cas dans le système que nous (France Bleue) a proposé alternativement au sysème Hulot-Grandjean. L’OMC s’est même permis de compliquer la question en avançant qu’éventuellement la compensation pourrait s’appliquer aux quotas… s’ils n’étaient pas gratuits !

Or, pour l’heure et pour assez longtemps, ils le sont ! Le prix d’échange sur le marché des quotas est un jeu à somme nulle… sauf pour les banquiers… C’est pourquoi tout a été fait pour cacher qu’en fait les industries les plus polluantes, mais les plus importantes économiquement, seront exonérées de la contribution.

Le prétexte est donc que les industries compétitives subissent le coût des quotas dans le cadre de l’acccord sur le paquet climat-énergie européen négocié sous présidence française dans la perspective de Copenhague… L’argument est évidemment totalement FALLACIEUX et la décision de diviser par deux le taux proposé par Michel ROCARD, à la suite de toutes les études antérieures – soyons clair la Commission Rocard n’a servi à rien qu’à embrouiller la question dans un exercice classique de la politique de l’oxymore – procède d’une comparaison erronée. D’où la mauvaise conscience et la proposition d’une compensation. Car, au final, cette contribution pèsera bel et bien sur les ménages qui sont captifs d’une offre qu’ils ne maîtrisent pas. Trop faible pour réguler, mal assise pour inciter les acteurs responsables, cette contribution n’est donc pas une taxe carbone.

Elle n’est au final qu’un symbole politique. Ce qui en soi n’est pas forcément condamnable si l’addition n’est pas trop salée ! D’où l’idée du chèque vert pour rembourser son produit aux ménages et donc, si l’on pousse le raisonnement au bout de sa logique, ce chèque vert n’était qu’un chèque aux Verts pour leur contribution à la défaite du parti socialiste « productiviste ».

Or, Cécile Duflot est de ceux qui ont proposé ce système qui a empêtré le gouvernement… Je n’irai pas dans les détails de la manoeuvre. J’attends de voir. D’autant que finalement certains se sont émus et que le chèque vert n’est plus le chèque aux Verts imaginé par la Fondation Hulot et ses experts.

J’avoue ne pas avoir lu pour l’heure le détail de la position de Ségolène Royal. J’avoue me sentir plus proche du gouvernement que de Cécile Duflot ou de Martine Aubry ! Je reste convaincu que la taxe carbone, en soi, est un impôt d’avenir. Mais pas à n’importe quel prix. Il y a maitenant près d’un siècle que Pigou et d’autres ont défini les conditions dans lesquels un impôt pouvait constituer un bon signal prix pour le marché lorsque ce dernier n’intègre pas de lui-même l’impact des externalités. Il est assez curieux de voir qui, si on allait vraiment au fond des choses, la rigueur écologique est plutôt du coté de Bercy que des politiciens du développement durable.

L’écologie n’a pas fini de nous réserver des surprises. Devenue une évidence emblématique du siècle, elle en revêt également du coup une bonne part de ses oripeaux. N’est pas forcément le plus écolo celui qui en fait profession.

J’attendrai donc pour juger d’avoir en clair le dispositif proposé par le gouvernement. Quant à la querelle Duflot-Ségo, c’est clairement de la pure politique. Et c’est sans doute la rançon de la nécessaire victoire de l’écologie.

Patrice Hernu
Président de France Bleue

http://www.ecologiebleue.com/

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Damien Abad, député européen du Nouveau Centre, demande à ce que l’Europe sorte de son silence sur la situation en Iran.
« Les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 Etats membres ont certes réagi dans le cadre du Conseil européen de Bruxelles mais je souhaite que le Parlement européen et la Commission européenne se saisissent pleinement de cette question.
Je demande à M. Barroso, Président de la Commission européenne, à M. Klaus, Président actuel de l’Union européenne, ainsi qu’à l’ensemble des parlementaires européens de condamner avec la plus grande fermeté toutes les atteintes à la liberté, aux droits de l’Homme et à la démocratie.
Les institutions européennes ne peuvent rester impassibles face à cette escalade de la violence et face à cette parodie de démocratie que constituent des résultats électoraux aussi incohérents » souligne le Président des Jeunes Centristes.

Le Nouveau Centre rappelle son soutien au peuple iranien ainsi qu’aux journalistes étrangers confinés dans leurs hôtels et rappelle son attachement à la liberté de la presse, à l’exercice de la démocratie et au respect des Droits de l’Homme.

« Je souhaite que les députés européens déposent une proposition de résolution visant à apporter son soutien à la population iranienne, à condamner les violences dont sont victimes les manifestants et journalistes étrangers et à veiller à ce que soient  respectés l’état de droit et la démocratie en Iran.

L’Europe doit certes dialoguer avec l’Iran mais doit aussi condamner avec la plus grande fermeté quand cela s’avère nécessaire. Il en va de l’avenir de l’Union européenne sur la scène internationale » conclut Damien Abad.

Damien ABAD
Député Européen Nouveau centre